«Je voulais un endroit glamour et urbain, comme mes bijoux qui se portent autant le jour que le soir et autant sur une robe que sur un t-shirt», souligne la propriétaire de Bijoux Caroline Néron, fondée en 2004. Celle qui possède déjà cinq kiosques ailleurs dans la province promet un concept aussi chic que l'allée du Kodak Theater un soir d'Oscars : tapis rouge central, spots de lumières, écrans vidéo projetant ses défilés, etc. Dans un espace de 856 pieds carrés, la créatrice exposera toutes ses collections de bijoux sur de grands présentoirs en satin capitonné. La femme d'affaires se réjouit d'avoir mis la main sur un des locaux si convoités, et juste à temps pour la fête des Mères.
«C'est une opportunité incroyable! Québec est une ville importante, et ça faisait partie de mes projets depuis longtemps», évoque cette femme que rien ne semble essouffler. Maman depuis l'automne dernier, la chanteuse a sorti mardi un troisième album, Le destin, en plus de coanimer Affaires de star avec Mike Gauthier depuis février sur les ondes de MusiMax. «Je prends quand même le temps de dormir huit heures par nuit et d'avoir une vie», rigole-t-elle, adepte désormais de la conciliation travail-famille.
Si la créatrice n'avait donc pas le temps de dévoiler de nouveaux modèles pour sa première boutique, elle prendra sa revanche en août prochain. «J'ai conçu une collection spécialement pour le métrosexuel. Il y aura surtout des boutons de manchettes et des bracelets», précise celle qui n'a créé jusqu'ici qu'une dizaine de pendentifs pour la gent masculine. Contrairement aux bijoux pour femmes et enfants, faits à partir de cristaux Swarovski montés sur de l'argent ou du rhodium, ceux pour homme seront fabriqués à partir d'acier inoxydable, un métal plus gris et mat.
Des bijoux qui ont du chien!
Avec des créations comme le collier cravate ou le collier deux en un, Caroline Néron a su réinventer les classiques de la joaillerie. Mais pourquoi se limiter à la race humaine quand elle peut viser encore plus loin? Attendue à l'automne 2009, sa collection de bijoux pour animaux Drama Queen sortira plutôt au printemps 2011.
«Je n'avais pas encore d'échantillon satisfaisant», justifie la perfectionniste, qui semble avoir hésité à se lancer dans cette voie. «Avant, les femmes qui habillaient leurs chiens étaient considérées comme des princesses ou des femmes à cash. Mais avec un chien comme le mien (chihuahua), tu n'as pas le choix de l'habiller pour le sortir l'hiver si tu ne veux pas qu'il soit malade. Je crois que les gens sont maintenant plus ouverts à l'idée avec des petits chiens», explique-t-elle.
Celle qui a vendu ses créations quelque temps en 2008 aux Galeries Lafayette à Paris reconnaît toutefois qu'elle vise parfois trop haut. «Ç'a très bien fonctionné auprès du public, mais j'ai perdu de l'argent. Les Français ne font pas des affaires de la même façon que nous. Mais c'est un marché qui m'intéresse toujours», explique-t-elle sans renoncer à ce projet, mais sans s'être fixé un nouvel échéancier pour conquérir l'Hexagone.
Ambitieuse sans être compétitive, la bourreau de travail ne semble s'imposer aucune limite, comme son modèle Guy Laliberté. «C'est ce que j'aimerais transmettre à ma fille. Essayer de lui donner ce dont elle a envie plutôt d'y rêver toute sa vie sans rien faire», conclut celle dont la maternité resplendit autant que ses bijoux. Conçus et fabriqués pour la plupart à Montréal, les bijoux deCaroline Néron sont dans plus de 150 points en vente au Québec et en Ontario, mais aussi sur Internet au www.bijouxcarolineneron.com.
«C'est une opportunité incroyable! Québec est une ville importante, et ça faisait partie de mes projets depuis longtemps», évoque cette femme que rien ne semble essouffler. Maman depuis l'automne dernier, la chanteuse a sorti mardi un troisième album, Le destin, en plus de coanimer Affaires de star avec Mike Gauthier depuis février sur les ondes de MusiMax. «Je prends quand même le temps de dormir huit heures par nuit et d'avoir une vie», rigole-t-elle, adepte désormais de la conciliation travail-famille.
Si la créatrice n'avait donc pas le temps de dévoiler de nouveaux modèles pour sa première boutique, elle prendra sa revanche en août prochain. «J'ai conçu une collection spécialement pour le métrosexuel. Il y aura surtout des boutons de manchettes et des bracelets», précise celle qui n'a créé jusqu'ici qu'une dizaine de pendentifs pour la gent masculine. Contrairement aux bijoux pour femmes et enfants, faits à partir de cristaux Swarovski montés sur de l'argent ou du rhodium, ceux pour homme seront fabriqués à partir d'acier inoxydable, un métal plus gris et mat.
Des bijoux qui ont du chien!
Avec des créations comme le collier cravate ou le collier deux en un, Caroline Néron a su réinventer les classiques de la joaillerie. Mais pourquoi se limiter à la race humaine quand elle peut viser encore plus loin? Attendue à l'automne 2009, sa collection de bijoux pour animaux Drama Queen sortira plutôt au printemps 2011.
«Je n'avais pas encore d'échantillon satisfaisant», justifie la perfectionniste, qui semble avoir hésité à se lancer dans cette voie. «Avant, les femmes qui habillaient leurs chiens étaient considérées comme des princesses ou des femmes à cash. Mais avec un chien comme le mien (chihuahua), tu n'as pas le choix de l'habiller pour le sortir l'hiver si tu ne veux pas qu'il soit malade. Je crois que les gens sont maintenant plus ouverts à l'idée avec des petits chiens», explique-t-elle.
Celle qui a vendu ses créations quelque temps en 2008 aux Galeries Lafayette à Paris reconnaît toutefois qu'elle vise parfois trop haut. «Ç'a très bien fonctionné auprès du public, mais j'ai perdu de l'argent. Les Français ne font pas des affaires de la même façon que nous. Mais c'est un marché qui m'intéresse toujours», explique-t-elle sans renoncer à ce projet, mais sans s'être fixé un nouvel échéancier pour conquérir l'Hexagone.
Ambitieuse sans être compétitive, la bourreau de travail ne semble s'imposer aucune limite, comme son modèle Guy Laliberté. «C'est ce que j'aimerais transmettre à ma fille. Essayer de lui donner ce dont elle a envie plutôt d'y rêver toute sa vie sans rien faire», conclut celle dont la maternité resplendit autant que ses bijoux. Conçus et fabriqués pour la plupart à Montréal, les bijoux deCaroline Néron sont dans plus de 150 points en vente au Québec et en Ontario, mais aussi sur Internet au www.bijouxcarolineneron.com.
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