Il y a deux mois, la petite Emanuelle arrivait dans l’existence de sa célèbre maman, Caroline Néron. Radieuse, la jeune mère a le bonheur communicatif, mais ne cache pas que sa nouvelle vie comporte son lot d’inquiétudes. Nous avons rencontré la chanteuse au dévoilement de la programmation des Féeries du Vieux-Montréal. Aux côtés de plusieurs autres personnalités, elle décorait un arbre qui deviendra un des Sapins de star. Chacun dédiait son sapin à la fondation de son choix. Caroline, elle, a décidé d’offrir le sien à la fondation de l’hôpital Sainte-Justine.
Elle a d’ailleurs rendu visite à l’établissement réputé récemment, en compagnie de sa fille. Elle nous explique: «Emanuelle va bien maintenant, mais elle s’est étouffée, parce qu’elle régurgite beaucoup et que des sécrétions l’empêchaient de bien respirer. Elle a eu des convulsions et j’ai complètement paniqué. Nous sommes allés à Sainte-Justine et nous y avons passé la nuit. Nous avons été super bien accueillis. Le personnel nous a mis en confiance et a été d’une extrême gentillesse. C’est évident que ces gens-là ont leur travail à cœur», explique celle qui a décoré un sapin scintillant dans les teintes de bleu.
Émerveillée par la maternité
Sa frousse passée, Caroline voit le temps des fêtes approcher avec bonheur. «Ma fille est encore petite pour réaliser ce qui se passe, mais je me réjouis juste à l’idée de tous ces Noëls que nous allons maintenant vivre ensemble», lance la maman, émerveillée. Elle est d’ailleurs complètement fascinée par ce que la maternité lui fait vivre: «Je réalise que je n’aurais pas pu passer ma vie sans enfant. Je garde mes ambitions, mes rêves, et je reste allumée par mon métier, mais tout ça passe maintenant au second plan. Je pense qu’il n’y a rien de plus important dans la vie d’une femme que son rôle de guide, que le fait de transmettre son savoir à quelqu’un d’autre pour l’aider à cheminer.» D’un autre côté, celle qui, adolescente, a fait les quatre cents coups, se demande déjà comment elle réagira lorsque Emanuelle fera de même.
Caroline, qui a créé sa propre collection de bijoux et qui emploie 55 personnes, ne reste pas oisive pendant son congé de maternité. Elle se ménage un peu cependant: «J’utilise beaucoup le téléphone et je demande aux gens de se déplacer chez moi pour travailler. Par exemple, celle qui dessine mes bijoux à partir de mes idées vient chaque semaine. J’ai aussi quelqu’un qui m’aide à la maison, pour le ménage et les commissions, mais, pour ce qui a trait au bébé, je tiens à tout faire moi-même, à être là à chaque étape.»
Un album inspiré
Être présente pour sa petite merveille n’empêche pas Caroline de travailler à un nouvel album qui devrait sortir en mars prochain. Au contraire, même: l’arrivée de sa puce lui a donné beaucoup d’inspiration. «J’ai deux chansons sur la maternité, dont une qui s’appelle L’effet mère. J’y raconte à quel point le sentiment qui nous habite lorsqu’on attend un enfant est fort et intense. Moi, quand j’étais enceinte, tout ce que je faisais était en fonction du bébé», se souvient-elle. L’ambiance feutrée dans laquelle baigne la jeune mère en ce moment sera aussi à l’honneur sur l’album: «J’y chanterai principalement des ballades, parce que ce genre de chansons me fait réfléchir.» A-t-elle réfléchi à l’idée d’avoir un autre enfant? «J’y pense, mais je ne suis pas prête du tout. Je suis choyée», lance-t-elle, émue.
Elle a d’ailleurs rendu visite à l’établissement réputé récemment, en compagnie de sa fille. Elle nous explique: «Emanuelle va bien maintenant, mais elle s’est étouffée, parce qu’elle régurgite beaucoup et que des sécrétions l’empêchaient de bien respirer. Elle a eu des convulsions et j’ai complètement paniqué. Nous sommes allés à Sainte-Justine et nous y avons passé la nuit. Nous avons été super bien accueillis. Le personnel nous a mis en confiance et a été d’une extrême gentillesse. C’est évident que ces gens-là ont leur travail à cœur», explique celle qui a décoré un sapin scintillant dans les teintes de bleu.
Émerveillée par la maternité
Sa frousse passée, Caroline voit le temps des fêtes approcher avec bonheur. «Ma fille est encore petite pour réaliser ce qui se passe, mais je me réjouis juste à l’idée de tous ces Noëls que nous allons maintenant vivre ensemble», lance la maman, émerveillée. Elle est d’ailleurs complètement fascinée par ce que la maternité lui fait vivre: «Je réalise que je n’aurais pas pu passer ma vie sans enfant. Je garde mes ambitions, mes rêves, et je reste allumée par mon métier, mais tout ça passe maintenant au second plan. Je pense qu’il n’y a rien de plus important dans la vie d’une femme que son rôle de guide, que le fait de transmettre son savoir à quelqu’un d’autre pour l’aider à cheminer.» D’un autre côté, celle qui, adolescente, a fait les quatre cents coups, se demande déjà comment elle réagira lorsque Emanuelle fera de même.
Caroline, qui a créé sa propre collection de bijoux et qui emploie 55 personnes, ne reste pas oisive pendant son congé de maternité. Elle se ménage un peu cependant: «J’utilise beaucoup le téléphone et je demande aux gens de se déplacer chez moi pour travailler. Par exemple, celle qui dessine mes bijoux à partir de mes idées vient chaque semaine. J’ai aussi quelqu’un qui m’aide à la maison, pour le ménage et les commissions, mais, pour ce qui a trait au bébé, je tiens à tout faire moi-même, à être là à chaque étape.»
Un album inspiré
Être présente pour sa petite merveille n’empêche pas Caroline de travailler à un nouvel album qui devrait sortir en mars prochain. Au contraire, même: l’arrivée de sa puce lui a donné beaucoup d’inspiration. «J’ai deux chansons sur la maternité, dont une qui s’appelle L’effet mère. J’y raconte à quel point le sentiment qui nous habite lorsqu’on attend un enfant est fort et intense. Moi, quand j’étais enceinte, tout ce que je faisais était en fonction du bébé», se souvient-elle. L’ambiance feutrée dans laquelle baigne la jeune mère en ce moment sera aussi à l’honneur sur l’album: «J’y chanterai principalement des ballades, parce que ce genre de chansons me fait réfléchir.» A-t-elle réfléchi à l’idée d’avoir un autre enfant? «J’y pense, mais je ne suis pas prête du tout. Je suis choyée», lance-t-elle, émue.
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